Bruit anormal de l'embrayage, 3ème qui craque, boîte HS, baisse du régime moteur, embrayage centrifuge, boîte de vitesse bloquée, changement huile de boîte, démontage et remontage levier de vitesse...
bomacars a écrit : le "blanc de boeuf" est un produit du nord, dans le 13, ça peut mal passer, mais fallait pas en faire un fromage.
Ha ben voilà !!!! Maintenant, je comprends (j'ai été me renseigner, du coup) !! Et je me joins à la rigolade avec toi, car du coup, effectivement ta remarque prend tout son sens !
Ceci dit, comme Eric13190 est du 13 ...
Quand je pense qu'en juillet passé, j'ai acheté ma Dolly à Marignane ça fait peur :lol:
Ha ben oui, c'est pas loin ...
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2cv6 Spécial AZKA Bleue céleste 11/87
bomacars a écrit : le "blanc de boeuf" est un produit du nord, dans le 13, ça peut mal passer, mais fallait pas en faire un fromage.
Ha ben voilà !!!! Maintenant, je comprends (j'ai été me renseigner, du coup) !! Et je me joins à la rigolade avec toi, car du coup, effectivement ta remarque prend tout son sens !
Ceci dit, comme Eric13190 est du 13 ...
Quand je pense qu'en juillet passé, j'ai acheté ma Dolly à Marignane ça fait peur :lol:
Filofax a écrit :On peut mettre aussi des bananes à la place de l'huile de boite.
Et ça, c'est historique :D (quoi que....???)
C'est ce qu'écrit Séguéla en tous cas.
Ce devait être de toutes petites bananes, pour entrer par l'orifice de remplissage de la boite ! :shock:
"La Terre en rond", page 93 :
" Deux heures plus tard, le moteur émet un horrible bruit de crécelle. Nous stoppons immédiatement et, épuisés, nous nous endormons sans chercher à comprendre. Au matin, stupeur et consternation : plus une goutte d'huile dans la boite à vitesses. Le bouchon de vidange du carter a disparu. Les terribles cahots de la tôle ondulée l'ont surement dévissé peu à peu. Et pour tout arranger, nous n'avons pas d'huile en réserve. La seule chose à faire c'est d'attendre la passage d'un camion aussi providentiel qu'hypothétique...
...Vers midi un léger bruit nous réveille : un Chilien, sans âge, presque noir, regarde en souriant la voiture. Il est seul, un sac sur son épaule. tant bien que mal, nous tentons de lui expliquer notre détresse. Il cherche à comprendre, puis soudain, il sourit, ouvre son sac, en sort une dizaine de bananes, les épluche soigneusement... et les introduit une à une dans le carter.
C'est avec ce lubrifiant que nous roulons pendant trois cents kilomètres. Et les vitesses passent sans grincer !"